Quelques repères :
Les antécédents d’infection de l’appareil génital (épididymites, orchites,prostatites, infections urinaires,urétrites…) représentent 20 à 25% des cas d’infertilité masculine.
la pathologie asymptomatique à chlamidia représente 40% des urétrites et des épididymites de l'adulte
Les Mycoplasmes (Ureaplasma urealyticum) sont isolés dans plus de 30% des spermocultures chez des hommes infertiles mais sa responsabilité est encore difficilement prouvée dans
l’infertilité masculine
Une spermoculture, pourquoi faire ?
En routine, pour :
- Soigner une infection douloureuse
- Se prémunir des complications possibles à venir (prostatite, orchi-épididymite)
- Préserver sa conjointe car il n’est pas péremptoirement démontré qu’une infection interfère directement sur le spermatozoïde, in vivo….
En AMP pour :
- Eviter la contamination des cultures embryonnaires in vitro par le sperme. Ce qui évitera d’annuler la tentative en cours.